• D'une grosse queue à ....

    D'une grosse queue à ....

    18 décembre 2023,

    La vie n’est jamais très simple. Alors que j’étais dans la reprise de mes récits, suite à la séparation avec mon copain, il est finalement revenu.
    Je ne sais pas si je l’avais déjà écris, mais cet homme est à la fois hyper chaud, très open, mais également jaloux. Nous nous détruisions, il fallait que ça s’arrête et il a pris la décision de mettre fin à notre histoire.

    Bref, ça vient – malheureusement – de se terminer encore et l’un comme l’autre, il nous faut avancer, chacun à sa façon.

    Après un temps de digestion de la situation, je me suis mis un petit coup de pied au cul pour sortir de nouveau.
    En sommes, je n’étais pas très chaud, voire pas du tout. J’y suis allé quand même.

    Dimanche 17 décembre, il est environ 10h, cela fait déjà quelques heures que je suis réveillé et que je me pose la question à savoir si je sors ou non.
    Il fait frais dehors, mais pas froid, sûrement grâce au soleil que nous avons aujoud’hui.

    Il est tôt, soit je patiente jusqu’aux alentours de 15h pour aller sur Paris et avoir des chances de trouver des bordels blindés de mecs, soit je me décide de sortir d’ores et déjà et voir ce que je peux trouver à me mettre sur la langue à un lieu de drague à côté de la maison.

    C’est décidé, je commence par cette deuxième option.


    Quand j’arrive sur place, je vois qu’il y a un scooter que les habitués ont l’habitude de voir, c’est à un mec que je me suis déjà tapé plusieurs fois, qui n’est ni moche, ni beau, mais qui a une très bonne queue.
    Il a une autre particularité, il n’est absolument pas regardant quant aux mecs qui veulent s’occuper de sa queue ou bien se la prendre BBK.

    Puis, il y a une autre voiture, bleue que je n’ai pas l’impression d’avoir déjà constaté ici.
    Bref, il est presque 12h, il ne fait que 3°, je ne suis pas convaincu par la pertinence d’être ici.
    Enfin, il y a quand même ce gars, le propriétaire du scooter et il a une très bonne bite.
    Si je ne suis pas chaud, j’ai bien envie de me la prendre, je pense que ça va m’exciter et déjà bien me préparer la chatte vu le calibre.

    Pour le trouver dans les bois, ça n’est pas bien difficile, il est toujours au même endroit.
    Je m’engage dans le bois, je traverses en allant tout droit et me dirige vers une forme de bosquet dans lequel ça baise souvent.

    Sur ma droite, un gars vêtu d’un survêtement gris, mais il est trop loin pour voir s’il est pompable ou pas. Je continue d’avancer, j’ai un objectif et je compte bien l’atteindre, en espérant qu’un vieux ne soit pas déjà à ma place de chienne.
    C’est très régulier que ce mec se fasse pomper par des mecs qui sont à deux doigts de passer l’arme à gauche compte tenu de leur âge avancé.

    À l’approche du lieu que je vise, je devine un mec en train de fumer sa clope.
    Il est habillé d’un manteau pour du 2 roue, noir et blanc. Un bas de jogging vert et une forme de cagoule sur la tête.
    Pendant qu’il tire sa latte, il touche sa teub bandante et prête à l’usage.

    Évidemment, je ne perds pas de temps, me voilà déjà accroupi devant son chibre et ma langue posée sur son gland.

    Il a vraiment une bonne queue, j’ai déjà filmé le fait de m’occuper d’elle et j’ai déjà du publier des vidéos, mais ça remonte. Il me faut donc actualiser, je prends donc mon téléphone, je prépare l’enregistrement et… La suite est illustrée ici et surtout disponible sur mon profil Mym :  https://mym.fans/lopayop

    Lui, je sais que ce qui l’intéresse, c’est mon trou de chienne.

    Alors, tout en le suçant, je me redresse, je baisse mon bas de survêt et lui présente mon cul dans un Jock-Strap.
    Il essai de me mettre un doigt, mais ce mec à un problème, c’est qu’il est brut ! Qu’importe ce qu’il fait, il le fait de bon cœur. Peut-être trop.

    Il n’est absolument pas attentif à son partenaire.

    Aves sa mains sèche, il me fait mal, mon trou n’est pas encore ouvert, je ne suis pas encore complètement préparer pour me faire baiser comme il se doit.
    Je m’empresse à mettre du gel et ma chatte bien lubrifiée, je me retourne pour m’empaler dessus. Heureusement, je me suis déjà fait baiser plein de fois par lui, maintenant je sais comment m’y prendre pour lui calmer ses ardeurs et faire que tout se passe bien.
    Si je le laisse aller avec autant d’engouement, je ne vais pas apprécier l’instant de baise et je risque de vite avoir envie de passer à autre chose. Le cas échéant, ça ne lui permettrait pas non plus de profiter de la chienne qu’il a devant lui.

    En plus – ce mec – il est endurant et je crois que la seule fois où je l’ai vu juté, c’est la première fois que j’ai découvert sa bite, il y a de cela au moins 10 ans.
    À chaque fois que je le laisse m’enculer, c’est pour préparer mon anus à recevoir d’autres bites qui – elles – seront (je l’espère) des queues bien juteuses.
    À chaque fois, j’ai beau lui dire que je veux son jus, je n’y arrive pas, il ne jute pas.

    Dans mes souvenirs, il n’est pas un très gros juteur et cela remonte tellement que je ne sais pas si son foutre est bon.
     Ce qui me fait kiffer et qui me donne autant envie d’avoir son foutre qui coule en moi, c’est que je sais qu’il baise n’importe qui et jamais avec une capote

    Tout en me baisant, il me parle, ce qui est relativement rare. Généralement, nous n’entendons jamais le son de sa voix.
    Là, il m’explique qu’il aime mon cul, qu’il me baise bien.

    Il a l’air de kiffer ! Et moi, je kiffe aussi.

    Tout en le laissant me défoncer le trou, je filme la scène pour l’immortaliser.
    Puis, j’attends. J’attends le moment où je vais pouvoir lui demander de me doser le trou à jus.
    J’attends parce que je le sais performant, il faut qu’il s’excite encore.

    Voilà, je crois que c’est le moment, au-delà de mes couinement, je m’exprime.

    - Ouais, vas-y, fais toi plaisir.
    Défonce moi bien ma chatte de salope et colle moi bien ton jus au fond.
    Cette fois, je veux ton jus. Je ne l’ai jamais eu dans le cul, s’il te plaît, fais moi ce plaisir.

    Il continue de me défoncer la chatte, je lui demande encore de me doser.
    Lui, il continue de me dire qu’il me baise comme une grosse chienne, qu’il kiffe ça !

    Et moi, toujours dans l’attente et l’envie que son sperme coule en moi, que ça me colle bien sur les parois internes.

    -        Tu vas juter ?

    Il me répond que non, je commence vraiment à désespérer. Souvent, je me dis que je suis trop con, je cherche à ce qu’il me baise, mais je sais – pourtant – qu’il ne va pas me doser.

    Puis, il accélère, il va de plus en plus vite, il tape de plus en plus et enfin me dis que ça vient, que ça monte, qu’il va juter en moi.

    Il tape une dernière fois et reste coller au startting block ! Je crois que s’il n’y avait pas mes deux fesses pour le retenir, il serait sorti de l’autre côté.
    Bien en moi, bien au chaud, il lâche son blanc de couilles en moi.

    Wahouuuuuu !!!! Je suis aux anges !!!

     

    ENFIN !!! J’ai réussi à avoir sa crème au fond de ma chatte désormais en manque d'encore plus de foutre en quantité.

    Il ressort, je me retourne et pour ne pas perdre une seule goutte de nectar précieux, je prends une dernière fois sa bite en bouche, je la suce, la lèche et joue encore avec ma langue sur son urètre pour absorber la dernière perle de sperme.

    Un « Bonne journée » échangé et je retourne vite à la voiture.
    Ça n’est pas le tout de se faire baiser, il faut aussi faire attention de ne pas attraper froid.
    Et la baise, c’est quand même traitre ! Sur le moment, tu n’as pas froid, tu te fais baiser et tu fais en sorte d’être à la hauteur, tu oublies donc les quelques petits degrés hivernaux.

     

    Le temps de me réchauffer et arrive quelqu’un aves sa voiture grise métallisée d’une marque dont le logo est un losange.

    Le gars sort, passe à côté de moi, il me semble le reconnaître.

    Plutôt petit, typé rebeu, casquette blanche et manteau noir, au  profil entre le mec de quartier défavorisé et celui d’un gars lambda.
    Il est a l’air déterminé dans sa démarche, il sait où il va et ce qu’il veut.
    Lorsqu’il sortait de sa voiture, un autre mec arrivait sur les lieux. Il bascule de l’intérieur de sa caisse à l’extérieur. Je crois bien qu’il a repéré le même gars que moi et il compte bien le suivre, ce qui me gave.

    Ça ne me soule pas dans le sens : « Il fait chier, il pouvait rester dans sa voiture et attendre la came qui correspond mieux à son profil ».
    Non, c’est le jeu malheureusement, mais il fait chier dans le sens où j’aurai aimé qu’il arrive une à deux minutes plus tard, ce qui m’aurait plus aisément permis de suivre ma proie sans avoir une quelconque rivalité. Quoi que.... Vu la gueule du gars, je ne suis pas certain qu'il soit vraiment un rival, mais parfois nous avons de mauvaises surprises. Dans un autre récit, j'avais déjà raconté cette fois où un pur beau gosse était finalement attiré par les Daddy et il ne prenait d'ailleurs pas ceux qui pouvaient être les plus beaux des hommes d'un certain âge.

    L’autre problème, quand trop de mecs en suivent un seul, ce que ce dernier finisse par être blasé par les profils dont il est la cible et repartir sans rien faire.

    Finalement, nous arrivons à semer le dernier arrivé sur le lieu de drague. Ma proie me devance de quelques mètres et finit par se poser.

    D’ordinaire, je serai passé devant lui sans faire de signe particulier, mais si je le suis c’est que je suis intéressé et il le sait. Alors, il me faut m’assurer que c’est réciproque.
    À peine s’est-il arrêté que je m’approche et pose ma main droite sur son paquet. Son manteau est long, ça n’est pas très pratique, mais je sens quand même son paquet.
    Ce gars, il est plutôt mignon et il me semble bien me l’être déjà fait deux ou trois fois.

    Nous nous décalons de deux pas, il ouvre son manteau, sort son chibre encore en demi-molle et le voilà dans ma bouche bien chaude. Il n’y a pas besoin de jouer beaucoup avec pour qu’il commence à se mettre à bander.
    Sa bite gonfle dans ma gueule de chienne, elle n’est pas très longue, en revanche relativement épaisse. En tout cas, elle est très agréable à sucer.

    Dans ces moments là, tu ne comprends jamais comment les lieux de drague fonctionnent.
    Sur le coup, il n’y a absolument personne dans les parages et là, comme par hasard, des mecs arrivent. C’est toujours lorsque tu es occupé et que tu as envie d’être tranquille avec ta proie que les mecs débarquent tels des Cèpes au pied d’un Chêne.

    Le petit gars a envie de rester seul avec moi, il demande aux autres de nous laisser tranquille, puis il décide que nous allions plus loin.

    Arrivés dans un coin où d’ordinaire il y a peu de passage, nous pouvons nous remettre en action.
    Sa queue de nouveau en place dans ma bouche, il appuie bien sur ma tête pour que je le pompe en fond de gorge, mais c’est vraiment quelque chose que je n’aime pas. Même si un mec n’a pas une queue longue, je n’ai absolument pas une gorge profonde, j’ai vraiment horreur de ça, mais il insiste.

    Pour passer à autre chose, je me redresse, lui présente mon cul qu’il commence à tâter.
    M’ayant déjà pris une bite bien large et une dose de foutre, il sait qu’il ne va pas y avoir de difficulté pour me niquer, il me dirige contre l’arbre, fait que je me baisse pour être à la bonne hauteur et va pour rentrer direct !

    Alors ok, je me suis fais baiser, mais quand même… Quand tu es actif, tu fais attention de la manière dont tu rentres dans une cuve, toutes les salopes n’ont pas un trou béant au point de rentrer dedans comme s’il y avait de la place pour plusieurs bites.

    Il me fait mal ! Même si je lui dis d’y aller doucement, il veut en faire qu’à sa tête et me dit de le laisser faire, qu’il gère.

    Force est de constater que non, il ne gère pas complètement.

    Il finit quand même par se placer en moi. Le temps que la douleur passe et c’est du pur plaisir. Se faire ramoner la bite, c’est vraiment quelque chose de génial !

    Il est plus petit que moi, ça n’est pas évident de tenir la bonne position, d’être à la bonne hauteur pour que lui ne soit pas sur la pointe des pieds pour me baiser.

    Il sait ce qu’il fait, il sait ce qu’il veut, il y va franchement pendant qu’un grand mec s’approche. Ça n’est pas particulièrement un beau mâle, mais je veux bien qu’il me donne son biberon pendant que l’autre me refait la chatte avec sa bite.

    L’actif n’est pas de mon avis, nous ne sommes pas raccords sur ce coup là.
    Il s’adresse grand black et lui dit :

    « Laisse nous tranquille s’te plaît l’ami »

    Le mec ne bronche pas, il fait demi-tour et repart.
    Dans ma tête, je me dis que je vais le rattraper après m’être fait doser et lui proposer de m’occuper de sa bite qui doit être (j’en suis sûre) délicieuse.

    Pour le moment, je dois me concentrer, je suis exclusivement réservé à ce petit boy.

    Plus il y va et plus ça coule, je vois des flaques de jus tomber au sol. Je n’aurai pas cru en avoir autant dans le trou. Finalement, le précédent c’est une très belle dose de foutre qu’il m’a calé au fond de la cuve !

    Ce même moment, je réalise le gaspillage que ça représente, tout cette sauce qui tombe, ça n’est pas acceptable !
    Pendant qu’il est en train de me faire le trou, je tiens l’arbre de ma main droite pour amortir les coups et je passe ma main gauche sous mes couilles pour récupérer quand même un peu de foutre.

    Ma main désormais crémeuse, je l’amène à ma bouche et déguste ce jus encore bien gouteux.
    C’est tellement bon de se faire baiser et bouffer du jus en même temps.

    Le temps passe et ça commence déjà à faire un moment qu’il me baise, que j’encaisse ses coups de queue et probablement parce qu’il se rase la bite et que ça repousse, j’encaisse également la brûlure que ça provoque. Maintenant, je me pose la question s’il va réussir à cracher, à ajouter une dose de jus de couilles au fond de ma chatte affamée.

    Il se retire et me donne de nouveau sa bite à sucer.
    Elle est pleine de jus, elle est glissante à souhait et tellement bonne à pomper désormais.
    Encore une fois, il essaie de me la mettre bien au fond de la gorge, il ne comprends pas que ça n’est pas mon délire et il me baise la bouche comme s’il voulait faire monter la sauce pour me la coller dans le gosier.

    C’est dans mon cul que je veux du foutre !

    Je le pompe encore, j’aime toujours être en action, mais je risque de me lacer. Vous allez peut-être croire qu’au final je n’aime pas grand-chose, mais je dois avouer que je ne suis pas non plus un adepte des plans longs.
    Ce que je veux, là tout de suite maintenant, c’est son jus dans mon trou.

    Quelle est ma méthode de suce à cet instant,  je ne sais pas.
    Pourtant, il me demande de continuer comme ça et la manière dont il s’exprime me laisse penser que de cette façon, je suis en train de lui faire monter la sauce et qu’elle ne devrait plus tarder à me donner pleins de saveurs dans la bouche.

    Je me dépêche de me redresser, de lui présenter à nouveau ma croupe et de l’inviter à me baiser encore.
    Cette-fois, ça rentre comme dans du beurre, sa bite fait bien son taf, elle va au fond et reviens vers la sortie de la chatte pour retourner au fond.
    Il me demande de ne plus bouger, je pense que c’est un signe. Sûrement que c’est maintenant qu’il va me doser.
    Finalement, je n’ai pas l’impression que ça vient et je fini par croire que je ne vais pas réussir à le faire juter. Je sais que les rebeus sont généralement endurants, mais là….

    Et si ! Enfin !!!! Il me colle sa queue au fond et lâche bien son foutre au fond de mon trou de salope.

     Après avoir bien tout craché, il ressort de ma cuve, il a la queue qui ramollie et pleine de mousse, de jus. Je n’ai pas de mouchoir à lui donner, je les ai oublié dans ma caisse.
    Je ne peux quand même pas le laisser ranger sa teub dans cet état, il me faut être sympa et lui nettoyer la bite.

    Un dernier coup avec ma bouche, de derniers coups de langues et voilà que sa queue est propre.
    Le cul plein de jus, je peux retourner dans ma voiture et attendre que d’autres actifs aient besoin de se vider les bourses.

     

    Finalement, il ne va pas se passer grand-chose ici, nous sommes dimanche et je sais que c’est le jour d’influence dans les bordels parisiens.
    Mais lequel choisir ? Où aller ?

     

    Le secteur X, ça me tente bien, le dimanche c’est après-midi uro.
    Le souci, c’est que Paris fait la guerre aux automobilistes et qu’il devient trop galère de se garer aux abords du bordel que j’ai – pourtant – envie de le retrouver.

    Le suncity, autrement dit : Le sauna des princesses.
    Ça me botte bien, je sais qu’il y a moyen d’avoir du monde, puis j’adore l’ambiance esthétique. Mais c’est quand même 23 balles, ça me fait chier de lâcher cette somme juste avant les fêtes, puis de toute manière, je ne les ai pas.

    Le Xkboy (anciennement le Bunker ), je pense que c’est l’endroit le plus chaud de la capital les dimanches après-midi. Ça baise de partout, il y a vraiment tous les styles de mecs.
    Le seul bémol selon moi, c’est que tu te fais beaucoup baiser sans forcément de prendre des doses. Les mecs en veulent pour leur agent, ils baisent, passent de cul en cul et se retiennent de cracher pour en profiter un maximum. Pour le jus, c’est au petit bonheur, la chance.

    En direction de Paris, je n’arrête pas de changer la destination de mon Waze, je n’arrive vraiment pas à me décider.

    Ça sera le Xkboy !

    C’est l’endroit pour lequel je vais sûrement avoir le plus de chance de trouver une place pour me garer et ça devrait assez chaud.


    14h45, j’arrive à côté de du bordel, il caille dehors et je crains d’avoir à faire la queue dehors, c’est tellement blindé le dimanche qu’à mon avis les gars arrivent tôt.

    Je me présente devant la porte et quelle fut la surprise… Personne !
    Je suis le premier. Devant, je vais attendre à peine 5 minutes et à peine rentré que d’autres mecs arrivent également.

    Il faut peu de temps avant que l’un d’eux s’installe sur l’un des matelas, le cul déjà bien tendu et très peu de temps encore pour que celui-ci soit déjà pris par la bite d’un mâle en rût.

    Si j’étais moyennement chaud tout à l’heure sur le lieu de drague, là je ne sais pas pourquoi, mais je ne le suis pas tant que ça.
    Probablement que ma rupture avec mon gars c’est encore trop frais, que mes pensées sont très occupées par plein de petites choses.
    Puis je commence à avoir mal au ventre, je ne vais pas prendre le risque de me faire baiser et d’avoir un accident qui est évitable.
    Par contre, si je ne me vide pas les couilles, je sais que je ne vais pas m’arrêter, il faut que je trouve un cul béant et dans l’idéal, un cul qui a déjà reçu quelques doses de jus.

    Je tâte un premier trou, mais trop serré pour moi. J’aime les chattes qui s’ouvrent bien, qui mouillent, qui sont déjà juteuses. Je ne suis pas un actif donc quand je le suis, autant que ça soit comme j’aime.

    Un autre cul… Lui, je ne sais pas pourquoi, mais je ne le sens pas. Je suis certain qu’il appartient a un mec qui n’a pas du faire de préparation.

    Puis je croise un autre mec, lui je pense qu’il est malade, qu’il ne se soigne pas, qu’il est bien accro à la plombe.
    Il n’est pas beau, mais ce n’est pas grave, là j’ai juste envie d’un trou à jus, me vider les couilles et rentrer chez moi pour rester dans mes pensées.

    Au final, je ne suis resté qu’une heure, ça me fait vraiment chier d’avoir payé 16 balles pour presque rien.
    De retour dans ma voiture, je prends la route pour le retour et il ne me faut que quelques minutes pour avoir de nouveau envie d’aller sur Grindr et envoyé un message à un gars que je connais, qui habite Paris et qui est très branché plombe.

    Pas ou peu de réponse, je continue à avancer et je m’arrête de temps en temps pour regarder mon téléphone.

    Une nouvelle pause et j’ai une réponse sur Whatsap de celui que j’ai contacté.
    Il me dit être en plan plombe, mais il ne me propose pas de les rejoindre. Au contraire, il m’encourage à persister, chercher encore et me garantie que je vais finir par trouver.

    Dans mes favoris Grindr, un gars que je vois de temps en temps est connecté. Il me dit être en ligne pour voir ce qui se passe, mais n’est pas particulièrement en chasse.
    Néanmoins, il serait content que je passe le voir pour qu’il me baise.

    Aller, GO !

    Après une heure de route (Hashtag putains de bouchons), j’arrive chez lui.
    Arrivé au 3ème, sa porte est ouverte, il fait presque noir dans l’appartement, lui m’attend sur son lit à poil.

    Je me dessape et m’installe pour lui pomper la queue encore molle.

    Ce que j’apprécie avec lui, c’est que je ne le pompe pas longtemps, ce qu’il veut c’est surtout mon cul.
    Et à croire ses coups de reins, ce soir il le voulait vraiment.

    Perso, je ne prends pas de Chems. D’abords parce que ce je trouve ça dommage d’en prendre alors qu’il est tout à fait possible de s’amuser sans, mais également parce que je vois de plus en plus de mecs qui ne savent plus baiser s’il n’y a pas de drogue.
    Puis, très régulièrement, ces mêmes mecs n’arrivent plus à bander (ou bien il faut encore un truc en plus pour réussir), sinon n’arrivent pas à juter.
    Enfin, je n’en prends pas parce que je me connais, je suis addicte aux choses de manière instantanée et je n’ai pas envie de tomber dans ce vice. Mais ça me fait bander.

    Lui en prend et ça m’excite. Tout en me baisant, il se prend des rails pendant que je suis également en train de me faire branler.
    Je sens la sauce monter, je le préviens. Il me demande de ne pas cracher, mais c’est plus fort que moi, j’ai besoin que ça sorte.

    Je crache !!!!! Je fais attention de ne pas en mettre partout, mais je sais que mes jets vont êtres puissants et le jus abondant.
    Je colle ma queue contre mon ventre, je referme le prépuce sur mon gland et je jute. J’expulse toute ma souille, mon jus de salope.

    Ça fait trop du bien.

    Mon fantasme serait qu’un jour un mec me mette de la 3 sur la chatte sans que je me m’en rende compte, mais encore une fois ça n’est que de l’ordre du fantasme, je ne veux pas tomber dans les travers de la drogue.
    J’ai peut-être du lui en parler une fois et lui, rêve qu’un jour je me perche pour me voir encore plus salope que je ne le suis déjà.
    J’ai senti que c’était sa volonté ce soir, je crois que j’ai paniqué et c’est aussi ce qui m’a fait cracher.

    Mes couilles étant bien vides maintenant, je retire sa queue de mon cul et lui présente mes excuses de ne pas avoir attendu qu’il me dose. Je regrette parce que je suis acro au jus, mais là il ne fallait pas que je prenne le risque de me faire percher et d’aimer ça.

    C’est confus que je me rhabille et que je rentre chez moi.

    Initialement, je n’étais pas très chaud, j’avais envie de me prendre des bites et surtout, j’avais envie de retrouver la Lopayop d’avant cette relation dont la fin est douloureuse.

    Me voilà désormais comblé pour cette journée et il me tarde d’avoir à vous proposer pour lecture, un prochain récit.

     

     


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