Jeudi 23 octobre 2023

Cette fois-ci, le récit que je vous propose sera légèrement différent des précédents.
Cela fait un bon bout de temps que je n’ai pas eu l’occasion de vous raconter un bon plan cul bien chaud.

Aujourd’hui, la possibilité de le faire c’est la conséquence d’une rupture qui – bien sûr – m’attriste et me pèse, mais qui me donne aussi cette possibilité de reprendre ma vie et notamment celle que j’aimais partager avec vous.

 

La rupture, c’est la continuité de cette nuit du 4 octobre 2021 durant laquelle j’ai rencontré un petit mec beau gosse que j’ai revu, puis revu, puis revu encore, avant qu’il ne vienne se greffer à mon couple et le faire basculer en trouple.

 

Mais revenons d’abord sur cette fameuse soirée, celle où je suis allé au Sun City.
Au moment où je suis en train d’écrire ce nouveau récit, je n’ai plus la mémoire me permettant d’affirmer si avant J, je me suis amusé ou non.

 

Ce dont je me rappelle, c’est que la première fois que mes yeux se sont portés sur son petit corps, c’était suite à une pause clope. Après avoir déposé mon briquet dans le vestiaire, j’allais pour retourner dans le Hammam lorsque ce mec blond au regard de ouf est arrivé accompagné.

 

Sur le coup, dans ma tête :

 

« Wahouuuu ! Lui, je le veux ! »

Puis, très rapidement, dans ma tête j’ai été quelque peu…. Méchant.

 

Lui, je l’ai trouvé canon, mais le gars qui l’accompagnait, pas du tout, il n’était absolument à mon goût et j’ai supposé qu’ils étaient ensemble, que c’était un couple avec une différence d’âge certaine, mais surtout ils n’allaient pas ensemble. Enfin bon, c’est ainsi, c’est la vie et lorsque l’amour parle, le reste n’a pas tant d’importance, tant mieux pour eux s’ils sont heureux.

 

Après m’être posé dans le Hammam, un mec s’assoit à côté de moi.
Il fait sombre, beaucoup de buée (c’est le principe d’un hammam) et je n’ai pas mes lunettes de vue, en bref… Je ne vois rien ou presque.

 

Mais, je comprends que le gars qui vient de se poser, c’est le beau gosse que j’ai vu juste avant au niveau des vestiaires.

 

Il ne reste pas longtemps, se lève et repars. Il ne faut pas que je loupe le coche, je m’empresse de me lever à mon tour et de le suivre.
J’ai de la chance, il est seul et va dans la douche commune. Si ça avait été une douche individuelle, j’aurai été baisé, mais pas dans le bon sens du terme.

L’eau coule sur mon corps, je fais genre de me laver, lui est juste sous le jet d’en face, nu, il se passe les mains sur le visage, la tête en arrière, les yeux fermés.

Putain, mais ce gars c’est obligé il faut que j’arrive à me le faire !

 

De prime abord, il n’a pas l’air très avenant, en tout cas il ne fera clairement pas le premier pas, donc c’est à moi de prendre mon courage à deux main et d’y aller.

 

Finalement, il est réceptif ! Tel un beau film d’amour à venir, ou bien un film de cul bien chaud, je le choppe par la nuque, je le plaque contre le carrelage, je lui lance un regard torride et je l’embrasse fougueusement.

 

C’est trop bon !!!!

 

C’est trop bon, mais ça ne dure pas, il se casse.

 

Honnêtement, je suis dégouté, je m’attendais à plus. Déjà, je me voyais le baiser ou mieux, prendre sa queue bien dure en pleine bouche avant qu’il ne me la fourre bien au fond de ma cuve à sperme, encore vierge de foutre chaud !

 

Que nenni ! Tant pis, il faut que je calme mes ardeurs maintenant et que je me trouve une autre friandise, en haut, là où se trouvent les cabines.

 

La difficulté dans cet établissement, contrairement à d’autres, c’est que ça tourne beaucoup. Avec le temps, je ne sais plus si je l’ai déjà dis, mais sur Paris, on l’appelle « Le Sauna des princesses ».

 

Finalement, je le croise de nouveau, il est toujours avec le mec qui l’accompagne ce soir, ils tournent tous les deux, parlent un peu et rigolent, mais ils n’ont pas l’air d’être ensemble finalement. Enfin… Je ne sais pas trop en fait.

 

En tout cas, ils se séparent et ce beau gars passe devant moi, une occasion qui me permet de lui adresser brièvement la parole.

 

Moi : Tu n’es pas mal non plus avec juste une serviette.

 

Il me sourit et me remercie.

                                                               Avec un tel sourire, je suis déjà en train de fondre !

 

 

 

Arf… C’est maintenant que ma mémoire me fait le plus défaut ! Ce dont je me souviens, c’est d’être resté avec lui au bar à parler de tout et de n’importe quoi, mais surtout de se rendre compte que nous avons beaucoup de points en communs.
Mais, vous dire si nous avons « baisé » avant ou après…. Ça, je n’en suis pas capable.

 

Évidemment, ce qui vous intéresse, c’est justement ce qui relève du sexuel, et je vais y venir.

 

Nous n’étions pas dans un lieu tel que celui-ci pour finalement dire : Je ne couche pas le premier soir !

 

Non, c’est ce lundi que je vais découvrir sa délicieuse bite !

 

Ce qui est bon, c’est de faire une telle découverte dans un endroit sombre, où nous ne percevons pas bien, où même pas du tout, le corps de l’autre et d’aller de découverte en découverte avec les mains baladeuses.   

 

Sa queue caresse maintenant la peau de mes doigts et il me tarde déjà qu’elle visite ma bouche de salope.
Mais, cette fois-ci, je ne souhaite pas aller trop vite, je veux prendre un peu mon temps, le caresser, le découvrir encore et aller de pas en pas. Ce mec, je ne sais expliquer pourquoi, il me plaît vraiment beaucoup et je n’ai pas l’envie que ça soit un simple plan cul à la va vite.
J’ai envie de donner le meilleur de moi-même, le meilleur de la lope que je suis.

 

C’est alors que je le caresse, que je souffle légèrement sur sa nuque et que je perçois des réactions qui me permettent de comprendre que c’est loin de le laisser indifférent, que je suis sur une bonne piste pour lui procurer du plaisir.

 

Sans trop m’empresser, je descends, je passe ma bouche sur son torse rasé, sur le piercing qu’il porte sur le téton droit et je continue mon chemin pour aller plus bas encore.
Je découvre maintenant son ventre chaud, rythmé au souffle de cet être qui paraît prendre du plaisir et j’arrive sur ce queue humide.

 

 

 

Humide !!!!! Mais oui ! Elle est humide et légèrement collante cette bite !
Elle dégage un goût sucré que j’adore. Il mouille le salaud !!!!

 

Putain, mais une lope comme moi, Ça ne peut qu’aimer ça, un gars qui mouille comme chienne !

 

Serait-il parfait ?

 

 

À cet instant présent, nous faisions pourtant une erreur !
Nous restions installé dans la darkroom, ce labyrinthe totalement plongé dans le noir, mais c’était un bon endroit pour se découvrir et en même temps, espérer que d’autres beaux mecs se joignent à nous.

 

C’est d’ailleurs ce qui arrive. Un gars vient se poser à côté de ma proie, ils commencent à s’embrasser pendant que moi, je m’occupe de la queue délicieuse du p’tit mec.
Mais me vient une impression, un sentiment… Celui où le mec qu’il est en train d’embrasser est, justement, ce même gars avec qui il est arrivé, que j’ai croisé derrière lui aux vestiaires et qui n’est vraiment pas, mais alors vraiment pas, à mon goût et pourtant, je ne suis parfois pas très regardant. Du coup, ça me refroidit et me donne l’envie d’aller ailleurs, de me retrouver qu’avec lui, son corps, ses souffles, son odeur, sa queue et la mouille qu’elle peut m’offrir encore.

 

Nous sommes tous les deux dans une cabine et cet instant et juste OUF !

 

C’est à la fois torride et très sensuel, nous sommes dans une bulle, notre bulle.
Dans cette cabine, j’ai un comportement que je n’ai pas habituellement avec des plans culs, je suis extrêmement tendre et attentionné, je suis doux et très tactile. Du bout de mes dix doigts, j’effleure sa peau avec celle ma main, il réagis beaucoup et me donne cette impression de prendre son pied.

 

Lui aussi va aller de mon visage vers ma queue qui est bien dure face à lui et moi aussi j’ai envie de découvrir les plaisirs que peut me procurer sa bouche et son savoir-faire en la matière. Ce petit jeune aime ça aussi, la queue.
Il se démerde très bien, je procure également beaucoup de plaisir. Cet instant avec lui, c’est juste magique.

Comme tout instant magique, il y a l’apothéose, ce moment de gloire, et là c’est précisément au moment où ma langue caresse encore sa queue et lèche ce gland que j’ai déjà envie de revoir avant même qu’il ne dévide son jus de couille dans ma gorge gourmande.
La sauce de J et à « l’image » du reste, exquis !

 

Après un tel moment hot, il nous faut tout de même reprendre nos esprits, sortir de la cabine et se fumer une bonne clope.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés enfermé tous les deux, corps contre corps à se lécher la bite, à me faire bouffer sa mouille abondante et à parler de nos trips sexuels respectifs et à la fois communs, mais j’en ai presque oublié qu’il était accompagné et que possiblement sont meilleur ami devait l’attendre.

 

Une clope, un moment à deux dans la piscine qui donne envie que le temps s’arrête et voilà qu’arrive l’heure où son compagnon amical a envie de rentrer.
Dépendant de lui, J ne pouvait malheureusement pas le laisser partir sans lui, mais heureusement il n’habite qu’à quelques petits kilomètres de chez moi et quelque chose me dit que nous allons nous revoir.
Nous échangeons nos numéros et le voilà parti.

 

Lui, sur le chemin va douter et croire que je ne vais jamais le contacter, d’autant plus que son ami le conforte dans cette idée.

 

Moi, je n’ai pas juté, j’ai encore faims, mais il ne se passe pas grand-chose ici.
Après encore un moment dans cet établissement, je décide de m’en aller et de chasser. J’étais chaud et cet instant cul intense, sucré et gourmand m’a encore plus chauffé.

 

 

 

Avec J, nous échangeons des messages toute la journée et nous ne pouvons pas attendre, c’est 4 jours après, soit le 8 octobre, que nous allons nous revoir, toujours dans au Sun City.
Lui est en couple et moi aussi, par conséquent nous ne pouvons pas recevoir, mais l’établissement nous donne cette possibilité de nous retrouver que tous les deux, peau contre peau, dans une cabine. Et qui sait, si nous en avons envie et que nous sommes vraiment chaud, nous pouvons aussi nous amuser avec d’autres queues bien juteuses.

 

Cette fois, nous voulons aller plus loin.

 

Déjà, partons du principe que lundi dernier, ça n’était qu’une petite découverte, que ce moment n’avait été que trop court.
Puis, là, de le voir avec moi, de le savoir à mes côtés nu avec juste une courte serviette autour de la table, ça me rappelle encore le goût de sa bite, mouillée, salivée puis crémeuse.
Ce soir, nous nous découvrons encore un peu plus, et ce, dans tous les domaines.
Nous avons suffisamment parlé pour savoir que mon truc à moi, c’est de baiser BBK et je suis totalement transparent, je rappelle que cela représente des risques et étant tous les deux adultes et responsables, nous sommes libres de nos faits et gestes et d’en accepter les possibles conséquences.

 

Encore une fois, nous nous caressons, nous découvrons l’un et l’autre le corps de chacun, nous cherchons (et trouvons parfois) les points sensibles de l’autre et tentons de nous faire monter tout là-haut, au 7^ème ciel.
Une telle intensité, c’est une invitation à explorer mon intérieur.
Il me retourne, caresse mon trou pour le préparer au lubrifiant et glisse délicatement son chibre entre mes cuisses.
Sa queue est désormais en moi et c’est comme si elle était moulée pour être dans mon cul.
Des bites dans ma chatte de chienne humaine, il y en a eu, parfois extrêmement désagréable, parfois moins et parfois très bien.
La sienne, je peux dire qu’elle est parfaite, elle rentre sans aucun problème, elle glisse comme il faut et elle me procure le bien que je recherche lorsque je me fais baiser.
Bien sûr, ça n’est pas qu’une question de membre reproducteur, les coups de reins y sont pour quelque chose, la manière dont le mec s’y prend et bien évidemment, avec J, c’est un tout, mais cette queue…. Miam.

 

La dernière fois, j’ai eu l’occasion et le plaisir de goûter à son foutre frais et à peine sorti de sa manufacture interne. Aujourd’hui, je n’ai qu’une envie, c’est que son jus coule en moi, visite mes entrailles, que J marque son territoire. Je veux que ses petits lui me visitent l’intérieur et si j’étais une femme, je voudrais qu’il me fasse plein de bébés.

 

 Quelques derniers coups de reins et il expulse ce qu’il a du plus profond de ses couilles en moi. À cet instant, je n’ai aucune idée de la quantité de sperme qu’il est en train d’offrir à mon trou gourmand, mais je sens que ça gicle fort et loin, que ça coule. Je ressens bien les pulsions en moi, c’est un moment tellement fort que ça n’est pas possible de l’oublier un jour.

 

Le temps paraît si long maintenant entre ce 8 octobre où nous nous sommes revus et ce mardi 12 octobre où nous nous retrouvons encore.
Mais cette fois, je vais jusqu’à chez lui et nous allons varier un peu les plaisirs.

Cette fois, nous n’allons pas faire ça dans une cabine, dans un labyrinthe dans lequel il fait complètement noir ou encore sur son canapé. Non.

 

Pour cette nouvelle occasion, nous allons faire un tour en forêt et baiser en pleine nature.
Nous étions encore très chaud avec celle folle envie l’un de l’autre, nous n’avons pas pu attendre d’aller très très loin dans les sous-bois.
C’est presque à l’entrée du bois que nous nous mettons à nous embrasser langoureusement, que nos langues se caressent et laisse monter encore un peu plus de plaisir et d’envie.

 

Avoir sa bonne bite en bouche, c’est un régal et vous imaginez bien, ça l’est d’autant plus que J mouille encore beaucoup. Je peux comprendre que tous les mecs n’aiment pas ça, mais pour moi, c’est vraiment un gros kiff et la sienne, de mouille, et particulièrement bonne, comme sa queue et tous le reste de son corps.

 

Nous ne sommes pas dans les conditions optimale pour que J me baise, mais il est hors de question que je ne puisse pas avoir sa sauce humaine, c’est alors sur ma langue de pute à jus que J va de nouveau déverser son nectar et me nourrir avec le mets que je préfère.

 

Puis nous allons nous revoir, nous revoir encore puis encore. À chaque fois nous nous découvrons, nous découvrons nos délires, nous nous faisons du bien et pour pimenter la chose, nous allons nous amuser avec d’autres, puis d’autres et d’autres encore.

 

Lui, comme moi, mais c’est bonne chienne à queues, une bonne salope et ça me plaît. J’aime autant qu’il me baise que de le voir ou le savoir se faire baiser.

 

Assez vite, je vais réussir à le faire accepter à mon copain et lui, va se séparer du siens.
Alors nous allons installer et former à trois, un trouple complice et amoureux.

Cet homme/mon homme, c’est un mec amoureux et extrêmement attentionné qui sait se donner les moyens lorsqu’il veut quelque chose.
Il est un homme qui a beaucoup évolué tout au long de notre histoire, qui a su prendre sur lui, faire des efforts considérables et moi, de mon côté, l’amour que je lui porte m’a également invité à faire attention, faire des efforts et des concessions.
J’ai du apprendre à la fois avec sa jalousie excessive, mais également avec sa frustration.

 

Gros bémol, nous sommes très similaires, à la fois sur ce qui relève du caractère que du cul, à quelque chose près.

 

Me concernant, je suis une lope dans l’âme, c’est imprégné en moi, ça fait partie de moi.
J’ai pu espérer que nous trouvions un équilibre, que nous arrivions, à terme, à faire des vidéos ensemble, que je puisse continuer à écrire mes récits, que je puisse avoir matière à présenter des vidéos, que ça soit à travers mon compte « X » (ex Twitter) que sur mon compte Mym (Lopayop • MYM).

 

Mais nos différences et nos différends ont brisés des choses au fil du temps et dans un sens, nous nous sommes éloignés sans réussir à recoller les morceaux malgré toute la meilleure volonté du monde.
Dans ma vie, le cul à une importance dans ma vie,  au même titre que le travail, par exemple.
Ce dont j’avais besoin, c’est de pouvoir parfois me retrouver dans ma bulle qu’est le cul et le monde du cul que je pouvais explorer avec mon petit homme, mais à condition que nous soyons chacun de notre côté et que chacun, fassions les lopes à jus que nous sommes.
Lui voyait les choses différemment, ce qu’il voulait c’est partager avec moi, que l’on se fasse des plans à plusieurs, c’était de conserver une complicité que nous avions lors d’une relation naissante, mais ça n’est pas moi.
Je ne suis pas comme ça et si j’ai toujours aimé son corps, sa queue et son cul, il ne fallait pas que nos relations sexuelles soient trop fréquentes.
Ce que je voulais après plus de deux ans de relations, c’est qu’il joue de son côté et moi du miens, que je le sache, qu’il le sache, que nous en parlions et avoir une complicité de cet ordre là.

 

Mais, nous n’avons jamais réussi à tomber d’accord, alors j’ai fais une concession, je ne sortais plus dans le milieu du cul. Parfois sur un lieu de drague où il pouvait m’arriver de temps en temps de me faire baiser, mais ça n’était pas comme avant, ça n’était pas L.A.Y, la pression et les tensions étaient telles que ça ne pouvait être comme avant.
Enfin, ça n’était pas ce qu’il y a de plus grave, je l’avais lui et mon autre homme qui a su en 18 ans m’accepter comme je suis, mais tout le monde n’est pas lui.

Ça pouvait parfois me manquer d’avoir perdu ma vie de lope, mais j’étais quand même heureux et ne plus vous écrire de récit parce que plus de cul ou presque, c’était une manière pour moi de faire un effort qui pouvait lui faire comprendre toute l’importance qu’il a pour moi. Parce que, soyons clair, je n’aurai jamais fait tout ça pour quelqu’un d’autre, je n’aurai jamais renoncé qui je suis pour quelqu’un. J’y ai cru, j’ai cru qu’un jour nous allions y arriver et qu’étant comme moi sur beaucoup de points, il allait devenir comme moi.

 

Il était pour moi, le mouton à 5 pattes ou c’est ce que je voulais, mais désormais il est parti.
Il n’était pas heureux et il s’est donné la chance de le devenir, c’est difficile à réaliser, je ne le réalise d’ailleurs pas. J’attends son appel pour me dire qu’il va revenir, mais il n’en ai rien et cela voudrait dire une chose. Soit qu’il réalise que le moi qu’il a rencontré et que je lui ai décrit était le bon et qu’il peut vivre avec parce qu’il est identique, soit que pour lui je suis prêt a accepté aux plans culs (autrement qu’en solo sur le lieu de drague ou ensemble), et je ne pourrais plus vous écrire parce que j’aurai fais le choix de cet homme plutôt que de quelques écrits.

 

Maintenant, il faut avancer, il essai de son côté et moi, il faut que j’y arrive du miens.
J’ai une peur bleue de découvrir sa nouvelle vie, une nouvelle relation ou bien de voir par le biais de « X » des vidéos où il s’éclate sexuellement. Du coup, je vais encore hésiter à re-filmer de possibles plans et publier de mon côté, j’aurai peur qu’il se venge parce qu’il à mal, mais il nous faut avancer et laisser au temps l’occasion de faire son travail.

 

Voilà comment se termine mon récit, il avait vocation à parler de lui, de J, de mon petit homme et de son corps. Il avait vocation à vous parler du plaisir que j’ai pu avoir avec et peut-être que prochainement d’autres récits pourraient arriver. Ils parleront peut-être encore de lui et de plans que nous avons pu faire ensemble, mais il se peut que j’attende encore avant de me lâcher de nouveau et partager d’éventuels plaisirs vécus.

 

Enfin, ce récit annonce tout de même un retour en douceur de L.A.Y, de cette lope à yop que je suis.

 

Et comme j’aime finir sur un bon point, voici encore la queue de mon petit homme, une bite que j’aime et qui va me manquer.